5 superaliments qui peuvent vous aider à vaincre le blues hivernal

Vous vous demandez comment soulager la déprime hivernale ? Essayez ces cinq superaliments qui peuvent améliorer votre humeur.

Avez-vous remarqué que vous vous sentez souvent déprimé pendant les mois les plus froids ? Il s’avère qu’il y a une raison scientifique à cela. Le trouble affectif saisonnier (TAS) est une forme de dépression qui serait provoquée par le changement de saison. En général, les symptômes commencent à s’aggraver à l’automne et atteignent leur apogée en hiver. Des sentiments de désespoir, des difficultés de concentration, un retrait social et un épuisement font partie des symptômes du TAS qui sont comparables à ceux d’autres types de dépression. Heureusement, il existe quelques superaliments qui peuvent vous aider à vaincre le blues hivernal.

Baies

Saviez-vous que le stress vous épuise physiquement et aggrave les symptômes de la dépression ? La sécrétion de cortisol, une hormone produite par la glande surrénale, peut être inhibée en mangeant des bleuets, des framboises et des fraises. Les baies semblent également avoir des effets comparables à ceux de l’acide valproïque, un médicament stabilisateur de l’humeur qui aide à réguler les émotions. Par conséquent, continuez à grignoter ces délicieuses baies pendant les mois les plus froids pour vous aider à éloigner la déprime hivernale.

Tomates

Une tasse de soupe chaude à la tomate est le plat préféré de tous pendant les mois les plus froids. Mais saviez-vous qu'elle peut également améliorer votre humeur ? Le lycopène, un phytonutriment liposoluble qui présente de nombreux bienfaits pour la santé, est présent en abondance dans les tomates. Comme le prouve une étude publiée dans le Journal of Affective Disorders , le lycopène est associé à un taux plus faible de symptômes dépressifs. Cela s'explique en partie par le fait que le lycopène peut ralentir ou arrêter l'accumulation de composés pro-inflammatoires, qui sont souvent associés à la dépression. De plus, les tomates contiennent de l'acide folique, qui peut empêcher le corps de produire trop d'homocystéine, ce qui limite la production de neurotransmetteurs essentiels comme la sérotonine, la dopamine et la noradrénaline.

Moringa

Aidez à soulager la déprime hivernale en ajoutant du moringa à votre alimentation. Étant un adaptogène naturel, le moringa aide à équilibrer les niveaux de cortisol pour aider le corps à devenir plus résistant aux effets du stress. Selon une étude menée sur des rats en 2014 , le moringa avait un effet anxiolytique significatif sur les rats par le biais de multiples mécanismes. De plus, l’extrait éthanolique présent dans les feuilles de moringa peut augmenter les niveaux de GABA, de dopamine et de sérotonine dans le cerveau. De faibles niveaux de dopamine sont associés à l’anxiété, et ces trois neurotransmetteurs ont été spécifiquement liés aux troubles liés à l’anxiété.

Avocat

Saviez-vous que votre toast à l’avocat préféré peut vous aider à soulager la déprime hivernale ? Les avocats regorgent de vitamines B et de potassium. Selon le British Journal of Nutrition , ces nutriments réduisent votre tension artérielle et augmentent votre taux de sérotonine. Les avocats sont également une bonne source de folate, qui, selon les recherches , peut aider à réduire les symptômes de la dépression. Alors, faites le plein d’avocats pour continuer à vous sentir au mieux de votre forme pendant ces sombres journées d’hiver.

Noix

Consommer régulièrement des noix chaudes et chauffées, comme des amandes et des noix, pendant les mois d’hiver permet de maintenir un système nerveux sain et de favoriser le bien-être cardiaque et mental. Les noix sont l’une des sources végétales les plus riches en acides gras oméga-3. C’est une bonne idée de grignoter des noix entre les repas, car elles peuvent éloigner le blues hivernal en améliorant la fonction cérébrale et en réduisant considérablement les symptômes de la dépression. Une étude de l’Université de Pittsburgh a révélé que les personnes ayant des niveaux élevés d’acides gras oméga-3 étaient moins susceptibles de souffrir de symptômes dépressifs légers ou modérés.